Après deux ans de négociations, la nouvelle convention collective des personnels navigants officiers a été signée par quatre organisations syndicales. Reste à signer la convention avec les personnels d'exécution.
Devenue obsolète, la convention collective des officiers a fait l’objet d’un long travail de réécriture par l’ensemble des partenaires sociaux. Le nouveau texte a été signé le 10 juillet par FO, la CFDT, la CFTC et CFE-CGC. Des organisations syndicales qui représentent plus de 49 % des salariés concernés. Il doit maintenant être transmis au ministère des Transports et de la Mer afin que ce dernier engage une procédure d’extension pour l’ensemble de la branche.
"Remplaçant la convention de 1948, elle consacre un grand nombre d’avancées, notamment au niveau de l’organisation du temps de travail, de salaires minima, du calcul des congés ou des indemnités de rupture", estime Armateurs de France.
La démarche s’inscrit dans un processus plus large de modernisation du droit social applicable aux marins et accompagne l’entrée en vigueur de la Convention internationale du travail maritime.
"La nouvelle convention collective officiers était attendue par tous, souligne Éric Banel, délégué général d’Armateurs de France, elle témoigne de la volonté commune des partenaires sociaux de construire un dialogue social rénové". Pour sa part, la convention collective des personnels d’exécution est toujours en négociation. Les armateurs souhaitent que l'effort fourni avec les officiers soit prolongé.
Devenue obsolète, la convention collective des officiers a fait l’objet d’un long travail de réécriture par l’ensemble des partenaires sociaux. Le nouveau texte a été signé le 10 juillet par FO, la CFDT, la CFTC et CFE-CGC. Des organisations syndicales qui représentent plus de 49 % des salariés concernés. Il doit maintenant être transmis au ministère des Transports et de la Mer afin que ce dernier engage une procédure d’extension pour l’ensemble de la branche.
"Remplaçant la convention de 1948, elle consacre un grand nombre d’avancées, notamment au niveau de l’organisation du temps de travail, de salaires minima, du calcul des congés ou des indemnités de rupture", estime Armateurs de France.
La démarche s’inscrit dans un processus plus large de modernisation du droit social applicable aux marins et accompagne l’entrée en vigueur de la Convention internationale du travail maritime.
"La nouvelle convention collective officiers était attendue par tous, souligne Éric Banel, délégué général d’Armateurs de France, elle témoigne de la volonté commune des partenaires sociaux de construire un dialogue social rénové". Pour sa part, la convention collective des personnels d’exécution est toujours en négociation. Les armateurs souhaitent que l'effort fourni avec les officiers soit prolongé.
