Au cours du quatrième trimestre 2019, le trafic des sept Grands Ports maritimes français métropolitains et de Calais a chuté de 8 %.
Plusieurs facteurs expliquent cette évolution, notamment les mouvements sociaux dans les ports liés à la réforme des retraites, le ralentissement de la croissance mondiale et les premiers impacts du Covid-19, dans les échanges avec l'Asie et la Chine en particulier.
Cette baisse sensible sur les trois derniers mois de l'année a plombé les tonnages de l'exercice. Le trafic annuel consolidé des sept Grands Ports maritimes métropolitains et de Calais a diminué de 2,9 % pour s’établir à 312 millions de tonnes.
Représentant les deux tiers de ce volume, les entrées ont résisté (- 1,7 %) tandis que les sorties se sont contractées de 4,9 %. Par catégorie de marchandises, les liquides sont restés stables (131,5 Mt), les solides ont décroché de 8,4 % (62,8 Mt) et les diverses se sont repliées de 3 % (117,7 Mt).
Parmi ces dernières, les conteneurs ont perdu 1 % en tonnage (47,4 Mt) comme en nombre de boîtes (4,95 M EVP). Pour le roulier, le recul est plus marqué, à hauteur de 4,4 %, pour un total de 64,7 Mt. À l’exception de Dunkerque, Rouen et La Rochelle qui ont enregistré des progressions de 1 à 2 %, les principaux ports métropolitains ont alimenté le repli général constaté en 2019 avec des baisses comprises entre 2 et 7 %.
Plusieurs facteurs expliquent cette évolution, notamment les mouvements sociaux dans les ports liés à la réforme des retraites, le ralentissement de la croissance mondiale et les premiers impacts du Covid-19, dans les échanges avec l'Asie et la Chine en particulier.
Cette baisse sensible sur les trois derniers mois de l'année a plombé les tonnages de l'exercice. Le trafic annuel consolidé des sept Grands Ports maritimes métropolitains et de Calais a diminué de 2,9 % pour s’établir à 312 millions de tonnes.
Représentant les deux tiers de ce volume, les entrées ont résisté (- 1,7 %) tandis que les sorties se sont contractées de 4,9 %. Par catégorie de marchandises, les liquides sont restés stables (131,5 Mt), les solides ont décroché de 8,4 % (62,8 Mt) et les diverses se sont repliées de 3 % (117,7 Mt).
Parmi ces dernières, les conteneurs ont perdu 1 % en tonnage (47,4 Mt) comme en nombre de boîtes (4,95 M EVP). Pour le roulier, le recul est plus marqué, à hauteur de 4,4 %, pour un total de 64,7 Mt. À l’exception de Dunkerque, Rouen et La Rochelle qui ont enregistré des progressions de 1 à 2 %, les principaux ports métropolitains ont alimenté le repli général constaté en 2019 avec des baisses comprises entre 2 et 7 %.