Commission du Rhin : un quatuor de priorités pour la présidence française

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À la tête pour deux ans de la Commission centrale pour la navigation du Rhin, la France entend faire progresser les dossiers de la coopération avec l’UE, de la transition énergétique et de la numérisation de la navigation fluviale, et du stationnement des bateaux.
Depuis le début de l’année, la France assure la présidence de la Commission centrale pour la navigation du Rhin (CCNR). Tournante avec les quatre autres États qui forment l’organisation internationale basée à Strasbourg (Pays-Bas, Belgique, Allemagne et Suisse), la fonction est assumée par François Alabrune, membre de la Cour permanente d’arbitrage après avoir été directeur des affaires juridiques du ministère des Affaires étrangères et occupé plusieurs postes diplomatiques, dont celui de représentant permanent auprès de l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe). La France a défini un quatuor de priorités pour cette présidence qu’elle assume pendant deux ans. Tout d’abord, le renforcement de la coopération avec l’Union européenne portera notamment sur le bon fonctionnement du Cesni (Comité européen pour l’élaboration de standards dans le domaine de la navigation intérieure). Au menu figure par…
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