Par sa présence dans les médias et les éléments de langage véhiculés sur ses résultats financiers confortables (un bénéfice de 144 M$ à fin septembre), sa stratégie d’innovation, sa différence..., l’on sentait que l’introduction en bourse de l’armateur israélien était imminente (cf. NL du 11 décembre).
Après trois tentatives infructueuses en bourse en 2008, 2011 et 2016, Zim a déposé un dossier sur le marché new-yorkais. La compagnie israélienne vise l’introduction en bourse pour augmenter son fond de roulement, espèrant ainsi lever 100 M$ que la société utilisera pour investir dans des navires et le déploiement d’outils numériques mais aussi pour renforcer la structure de son capital. Les banques Citigroup, Goldman Sachs et Barclays interviennent en tant que coordinateurs mondiaux tandis que Jefferies et Clarksons Platou Securities officient en tant que teneurs de livres.
Si la quatrième tentative de Zim réussit, elle consacrera alors…
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