ZIM : déficitaire de 2,7 Md$ en 2023, bénéficiaire de 4,7 Md$ en 2022

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Coté en bourse depuis 2021, le dixième armateur mondial de porte-conteneurs paie très chèrement le retournement de conjoncture en raison de son modèle particulier : une flotte affrétée, une capacité placée dans le spot, un réseau concentré sur quelques marchés. Mais ses faiblesses peuvent s'avérer lucratives comme la pandémie en a fait la démonstration.
La société israélienne, dixième armateur mondial de porte-conteneurs, connaît les montagnes russes. Après avoir accumulé les performances ces deux dernières années, la compagnie cotée sur le marché new-yorkais depuis 2021, n’est pas épargnée par le retournement radical de la conjoncture de son marché et n’échappe pas non plus à la déconfiture de son secteur.

Elle est même secouée plus sévèrement car son modèle la rend vulnérable : ZIM exploite une flotte de navires de petite taille, quasi-exclusivement affrétée (122 sur…
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