Vrac sec : un premier trimestre déréglé

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À l’instar des autres segments du transport maritime, le marché du vrac sec est complètement désaxé. Si la prudence est un principe de survie dans ce marché stellaire aux taux de fret versatiles, il y a néanmoins un ensemble de facteurs inhabituels qui viennent renforcer le sentiment d’un bien étrange premier trimestre.


La croyance est forte chez les acteurs du marché. Tous se plaisent à penser que le vrac sec, qui sort d’un très long tunnel, a fini de forer les bas-fonds. Et certains vont jusqu’à collecter tout indice qui viendrait conforter cette intime conviction : le temps d’un nouveau « supercycle ». Le dernier boom de la navigation pour le vrac sec s’est achevé en 2008. Le secteur sort assommé de la « décennie perdue » qui s’en est suivie. L’offre excédentaire et la demande réduite, qui ont caractérisé l’année 2020, les a encore davantage malmenés. La spirale haussière du cours des matières premières (depuis…
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