Alors que les parlementaires britanniques ont rejeté ce 15 janvier le texte négocié avec l'UE définissant les modalités de sortie du Royaume-Uni, l’attribution d'un contrat de 13,8 M£ (15,4 M€) par le ministère des Transports britannique à Seaborne Freight continue de susciter beaucoup de remous. La compagnie sans port, sans navires, sans horaires, sans clauses juridiques ... n'en finit plus de faire l'objet ... d'un examen minutieux.
Nouvel entrant sur le marché transmanche, Seaborne Freight est la seule compagnie basée au Royaume-Uni, aux côtés de DFDS (Danemark) et de Brittany Ferries (France), à bénéficier des contrats d'urgence annoncés fin décembre par le DfT pour disposer, dans l'éventualité d'un Brexit sans transaction, de capacités de fret supplémentaires sur des bateaux qui pourraient éventuellement toucher d’autres ports britanniques Felixstowe, Plymouth, Portsmouth…) et ainsi alléger la pression sur Douvres. D'une valeur totale de 108 M£…
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