Si le GNL s’est imposé dans le transport maritime pour répondre aux premières réglementations environnementales, l’émergence d’une autre génération d’alternatives au fuel lourd n’est plus qu’une histoire de quelques années. Le méthanol et l’ammoniac tiennent la corde pour leur bilan carbone mais leur intensité énergétique n’égalera pas le GNL. C’est du moins ce qui a été soutenu dans une table ronde organisée par l’Association française du gaz et France gaz maritime.
« Le GNL est largement disponible dans les ports grâce aux terminaux méthaniers et aux infrastructures développées pour d’autres industries mais dont le maritime profite », remarque Frédéric Meyer, directeur de la stratégie et des projets de la branche carburant maritimes de TotalÉnergies, qui intervenait dans le cadre d’une table ronde organisée par l’Association française du gaz et de France gaz maritime, qui s’est tenue le…
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