La filiale du groupe émirati DP World semble avoir exploité quelques failles de la législation britannique sur le travail pour licencier sans préavis 800 marins britanniques. Le gouvernement veut y remédier en imposant aux exploitants navires basés au Royaume-Uni et opérant sur des lignes régulières de rémunérer a minima au salaire minimum britannique. Durant le week-end, la Maritime Coastguard Agency a jugé inaptes à la navigation plusieurs navires de P&O Ferries opérant avec du personnel de remplacement.
Le licenciement brutal de 800 salariés par P&O Ferries continue de faire des vagues outre-Manche. Dernier événement en date, ce week-end, lorsqu’un ferry de la compagnie, le Pride of Rotterdam, un des deux qui opèrent en Mer du Nord et qui avait été transféré au registre chypriote il y a quelques années dans le but de réduire les coûts d'exploitation. Il devait reprendre le service avec un équipage de remplacement mais a été retenu par la Maritime Coastguard…
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