Alors que l’année 2022 a été particulièrement riche en commandes de navires, les carburants alternatifs montent en puissance. Les incertitudes demeurent pourtant sur leur disponibilité et leur capacité à évoluer dans les temps réglementaires. Si le méthanol et l’hydrogène suscitent un intérêt croissant, le GNL reste la solution de l’entre-deux.
Faute de technologies de rupture disponibles à court terme, dans un contexte réglementaire, dont l’agenda se resserre et les exigences se raffermissent pour réduire les émissions générées par le transport maritime, le GNL reste une approche privilégiée. Bien qu’imparfait pour traiter toutes les émissions polluantes épinglées par les réglementations à échéance plus ou moins proche. Bien que dans le collimateur de grandes institutions et bailleurs de fonds publics pour les effets contreproductifs dont il serait responsable, ces fameuses « fuites de méthane » lors de son process de combustion.…
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