OMI2020 : Le saut vers l’inconnu

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Le 1er janvier, le transport maritime a basculé dans un monde inconnu, répondant au nom de code siglé IMO2020. Un nouvel environnement dans lequel les exploitants de flotte vont naviguer au doigt mouillé, sans trop de repères quant à leurs coûts d’exploitation. Et ce, quelle que soit l’option choisie pour mettre leur flotte d’équerre avec la réglementation plafonnant le seuil de soufre à moins de 0,5 % édictée par leur autorité de réglementation, l’Organisation maritime internationale (OMI). Où en sont-ils ?

Au 10 décembre, avait calculé l’analyste de référence du secteur Alphaliner, 212 porte-conteneurs totalisant une capacité de 1,79 MEVP étaient équipés de scrubbers, ces dispositifs qui permettent de conserver le fioul à haute teneur en soufre HFO puisqu’ils jouent leur rôle de filtre des gaz de cheminées. Une centaine était alors en passe de l’être. Selon ces projections, le nombre de navires aujourd’hui aux normes s’élèverait…
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