« L'OMI est une organisation technique qui devrait concentrer ses efforts et son temps limité sur la définition de mesures concrètes et obligatoires ». C’est en ces termes que la délégation française à l’OMI a justifié son attitude paradoxale aux premiers abords lors de la 77e session du Comité de protection du milieu marin MEPC77, qui se tient depuis le 22 novembre et jusqu’au 26 novembre. Favorable à la COP26 à une décarbonation avant l’heure fixée pour le transport maritime, la France a voté contre cette résolution à l’OMI.
Dans la perspective de la 77e session du Comité de protection du milieu marin MEPC, profitant de la vitrine médiatique offerte par la COP26, le sommet international sur le climat, un ensemble composé de 34 nations et de la Commission européenne, dont la France, ont soutenu la soumission à l’OMI d'une résolution portée par les Îles Marshall et Salomon exigeant que les émissions du transport…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?