L'UE a compensé ses achats de gaz russe par du GNL russe

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Les pays européens continuent de faire le plein d’énergies d’origine russe. La rareté de l’offre mondiale et la faible substituabilité du gaz laissent peu d’options aux consommateurs. Dans le même temps, les négociants s’emparent du diesel russe avant l’interdiction du 5 février car là aussi, les sources alternatives sont limitées.


Les chiffres restent têtus. L’Union européenne a beau multiplié les sanctions envers la Russie pour l’exclure du système financier international, geler ses avoirs et ses actifs, et la priver de ses rentes de charbon (embargo), de pétrole (à partir du 5 décembre pour le brut et le 5 février pour les produits pétroliers) et de gaz (non sanctionné mais possiblement plafonné, objet d’un engagement à s’en affranchir). Avant l'invasion de l'Ukraine en février, le gaz russe acheminé par gazoduc était la principale source d'approvisionnement de l'Europe. Près d’un an plus tard, le GNL figure parmi les…
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