Après plusieurs années difficiles pour les mutuelles d’assurance maritime qui couvrent des risques allant des guerres aux dommages environnementaux pour des montants parfois colossaux, l'environnement s'est amélioré. Taux limité de désabonnement, primes plus élevées, sinistralité de grande valeur contenue... Alors qu'une mer libre et ouverte est devenue un défi, les P&I estiment avoir démontré leur rôle dans la stabilité du commerce mondial.
La période des négociations dans le cadre du renouvellement des contrats est achevé, comme chaque année le 20 février, et les P&I Club (Protection and Indemnity Clubs), ont obtenu satisfaction.Après plusieurs années difficiles pour ces mutuelles d’assurance maritime qui permettent de couvrir certains risques insuffisamment ou non garantis par les polices d’assurance maritimes classiques (particulièrement les dommages causés au tiers et, notamment, à l’environnement, où la responsabilité civile de l’armateur…
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