La route du cap de Bonne-Espérance retrouve de l'intérêt

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Le contournement par l’extrême pointe de l’Afrique du Sud au lieu d’emprunter le Canal de Suez pour relier l’Europe à l’Asie n'avait pas été observé depuis avril 2020. Á l’époque, toutes les conditions s’y prêtaient : la faiblesse historique des prix du pétrole, la surcapacité de l’offre de transport, une demande qui faisait grise mine. Un phénomène qui annonce le gros temps.
Le fait est symptomatique. Sa dimension est symbolique. Le signal envoyé est rarement une bonne nouvelle. Il indique un gros temps, baisse des volumes, surcapacité et sinistrose. Pareille situation n’avait plus été observée depuis le 4 avril 2020 lorsque, au plus fort de la crise, plusieurs porte-conteneurs avaient été pris en flagrant délit de passage par le cap de Bonne-Espérance.

Dans l’absolu, le canal de Suez, raccourci avantageux pour les navires reliant Asie et Amérique du Nord mais surtout Asie et Europe, a toujours été contournable par le cap de Bonne…
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