D’après Gibson Shipbrokers, une petite trentaine de navires au GNL ont été commandés depuis le début de l’année, portant à 157 le total en cours de construction. Que ce soit par défaut ou conviction, le GNL gagne très lentement des clients à moins que les armateurs ne soient rattrapés par l’urgence de l’horloge.
Cent cinquante-sept navires au GNL garnissent désormais les carnets de commande si on compte les 27 nouvelles unités qui auraient fait l’objet d’un contrat de construction depuis le début de l’année selon la comptabilité établie par Gibson Shipbrokers. Si l’accélération se confirme, le GNL aura donc connu une « affection » progressive à moins que cette option ne signe un choix par défaut, une forme de résignation au pragmatisme, le combustible étant immédiatement disponible quand d’autres carburants apparaissent certes « attirants » mais à l’horizon lointain. Les armateurs n’ont aucune certitude sur le fait que les alternatives,…
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