Euronav/Frontline : place à l'affrontement juridique

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Euronav, éconduit par Frontline dans une opération qui aurait dû les amener à fusionner, conteste la décision unilatérale de rupture de l’armateur norvégien et n’exclue pas le recours juridique. La Compagnie maritime belge (CMB), principal actionnaire d’Euronav, formellement opposé au projet, sollicite pour sa part la tenue d’un conseil d’administration portant sur « la stratégie future de l'entreprise ».


Les acteurs du marché croyaient en avoir fini avec l’interminable saga autour de l’opération de fusion entre Euronav et Frontline. L’année 2022 avait été rythmée par une bataille rangée entre actionnaires pour gagner de l’influence et, selon les parties prenantes, favoriser ou contrer la transaction. L’année 2023 pourrait laisser place à la judiciarisation de l’affaire et virer à l’affrontement par avocats interposés.

Ces derniers jours, Frontline, l’armateur de tankers norvégien, contrôlé majoritairement par John Fredriksen,…
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