[Édition spéciale vrac sec] Charbon, les flux ont horreur du vide

Article réservé aux abonnés

Le conflit prolongé sur le charbon entre la Chine et l’Australie, grande nation du vrac sec et premier client du géant chinois, modifie la structure des échanges. Certains pays s’empressent de suppléer le charbon australien. Une bonne nouvelle pour l’emploi des navires et le tonnage-km ?


La nature a horreur du vide. Le commerce international aussi. Les relations tendues depuis près d’un an entre Pékin et Canberra créent des effets d’aubaine pour d’autres pays que la Chine avait écartés de son sourcing. Après la suspension des importa- tions de bœuf, les droits de douane prohibitifs sur l’orge et les enquêtes commerciales sur le vin, le charbon australien est depuis octobre der- nier la victime expiatoire de la colère de Pékin.

À cette date, les centrales électriques et les aciéries chinoises ont été priées par l’exécutif chinois de cesser immédiatement d’acheter du char- bon australien tandis que les ports ont reçu la consigne de ne plus décharger. Très rapidement, l’affaire s’est matérialisée par un amoncellement invraisemblable de vraquiers au large des terminaux de charbon de Caofedian…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Shipping

Port

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15