Après être devenue l’an dernier le premier acheteur mondial de gaz naturel liquéfié, la Chine vise désormais le négoce sur les marchés étrangers. Il ne lui resterait plus qu'à consolider sa capacité à exporter et à se doter d'un « actif terminal » en Europe.
Depuis la fin de l’année dernière (cf Crise de l'énergie : la chine en butte à un conflit d'intérêt), des accords majeurs autour du GNL se nouent entre la Chine et les États-Unis.
Au grand étonnement de nombre d’observateurs internationaux – les tensions entre les deux premières puissances économiques mondiales étant alors vives –, des entreprises chinoises ont négocié en octobre dernier avec des compagnies américaines des contrats de plusieurs dizaines de milliards de dollars afin de sécuriser leurs approvisionnements à long terme de GNL.
Selon des informations publiées par la ministère américain de l'Énergie,…
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