Le troisième trimestre a permis au plus grand port européen de rattraper une petite partie de son retard sur l’an dernier. Aux termes des neuf premiers mois, le néerlandais reste néanmoins nettement en-deçà de son résultat comparé à la période correspondante de 2019. À l’exception des conteneurs qui s’en rapprochent de plus en plus. Rotterdam plaide en faveur d’une reprise par l’investissement public. Au programme, hydrogène et captage de CO2.
Avec un trafic global de 322,32 Mt à la fin septembre, Rotterdam a toujours 8,8 points de pourcentage à rattraper sur son exercice précédent. L’amélioration par rapport à la fin juin (- 9,1%) reste très limitée mais le grand port néerlandais reste – plus que son concurrent anversois – davantage exposé aux trafics durement impactés par la crise sanitaire, à l’instar des produits pétroliers et des vracs secs.
Les vracs liquides (- 10,4 % à 142,96 Mt) restent en difficulté. Les…
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