Si Zeebruges a enregistré le meilleur résultat semestriel de son histoire, il le doit au trafic de GNL. Le port côtier belge s’affirme dans un rôle de premier plan pour le gaz naturel liquéfié.
L’histoire récente de Zeebruges est fortement liée au gaz. La construction du nouvel avant-port a été notamment motivée par la volonté de la Belgique de se doter d’un terminal pour l’importation de GNL après la première crise pétrolière. Avec ses connexions aux gazoducs de la mer du Nord (Zeepipe vers les champs norvégiens, Interconnector vers le Royaume-Uni) et au réseau continental, le port joue toutefois pour le gaz un rôle de plaque tournante internationale. Le soutage en GNL – tant de navires que de camions – est venu compléter cette gamme de services pour le transbordement, le stockage et la redistribution du gaz.
Le GNL, longtemps venu d’Algérie, constitue un des piliers de l’activité portuaire. Son poids varie en fonction de l’évolution du marché…
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