À l'issue des trois premiers mois de l'année, le trafic du premier port européen s'est contracté pour s'établir à 113 Mt. En chute de près de 20 %, les produits pétroliers et le minerai de fer tirent le tonnage global vers le bas. La chute du transbordement de plus de 20 % emmène le conteneur qui perd 5 % en tonnage mais limite la casse en unités.
Appréhendés en mode balayage, les trafics du port néerlandais pour les trois mois de l’année présentent autant de segments en croissance qu’en repli. Mais l’équilibre n’est toutefois pas atteint car les volumes en (important) retrait touchent des poids lourds du premier port européen (produits pétroliers, minerai de fer, conteneurs) alors que les flux en croissance (GNL) correspondent à de faibles tonnages, à l’exception des matières premières qui raflent la mise.
Sur un plan global, après un contretemps de deux ans, Rotterdam avait retrouvé, à l’issue de l’année 2021, le niveau pré-pandémique,…
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