Éolien offshore : un eldorado pour les ports français ?

Article réservé aux abonnés

 

Qu’ils accueillent des usines de fabrication d’éoliennes, soient utilisés comme sites d’assemblage au cours du déploiement des champs offshore, ou servent de base de maintenance en phase d’exploitation, de nombreux ports français sont ou vont être mis à contribution pour l’éolien offshore.

Dans le dispositif portuaire lié à l’éolien en mer, trois ports français se singularisent. Il s’agit de Nantes-Saint-Nazaire, de Cherbourg et du Havre. Tous trois accueillent des sites majeurs pour la fabrication des éoliennes : Siemens-Gamesa a choisi Le Havre pour la production de ses pales et l’assemblage de ses nacelles. General Electric a installé les pales à Cherbourg et les nacelles à Nantes-Saint-Nazaire, où les Chantiers de l’Atlantique produisent aussi des sous-stations électriques. Les industriels ne visent pas le seul marché français de l’éolien offshore mais de fournir le monde entier. Les machines ayant vocation à s’exporter tous azimuts, elles nécessiteront…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Port

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15