Malgré le ralentissement de certaines activités industrielles du fait de la hausse des coûts énergétiques qui ont eu un impact direct sur certains flux, le Grand Port Maritime de Bordeaux a limité le repli de ses trafics à 2 % en entrées et en sorties. Les vracs agro-industriels s’illustrent par une bonne année et pas seulement grâce aux céréales. Le conteneur attend son épiphanie.
En 2022, le Grand port maritime de Bordeaux (GPMB) a enregistré plus d'escales avec 1 647 mouvements mais son tonnage a plafonné à 6,54 Mt, soit un manque à gagner de 150 000 t (- 2 %) par rapport à 2021. Les sorties (4,9 Mt) comme les entrées (1,6 Mt) ont accusé une régression dans les mêmes proportions. Parmi les filières-socles, sans surprise à l'image du panorama portuaire hexagonal, les imports d’hydrocarbures – le plus grand tonnage du port avec 3,4 Mt –, ont grimpé de 3 % « notamment le gasoil et l’essence…
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