Bordeaux a plafonné en 2022 mais a limité le reflux

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Après le départ d’un industriel du bois en 2020, le trafic forestier renaît à Bassens avec de l’import de rondins pour des papeteries.

Crédit photo ©GPMB
Malgré le ralentissement de certaines activités industrielles du fait de la hausse des coûts énergétiques qui ont eu un impact direct sur certains flux, le Grand Port Maritime de Bordeaux a limité le repli de ses trafics à 2 % en entrées et en sorties. Les vracs agro-industriels s’illustrent par une bonne année et pas seulement grâce aux céréales. Le conteneur attend son épiphanie.
En 2022, le Grand port maritime de Bordeaux (GPMB) a enregistré plus d'escales avec 1 647 mouvements mais son tonnage a plafonné à 6,54 Mt, soit un manque à gagner de 150 000 t (- 2 %) par rapport à 2021. Les sorties (4,9 Mt) comme les entrées (1,6 Mt) ont accusé une régression dans les mêmes proportions. Parmi les filières-socles, sans surprise à l'image du panorama portuaire hexagonal, les imports d’hydrocarbures – le plus grand tonnage du port avec 3,4 Mt –, ont grimpé de 3 % « notamment le gasoil et l’essence…
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