Alors que le baril de Brent a dévissé en raison d’un surstock et d’une faiblesse de l’activité de raffinage, Shell et ExxonMobil ont ouvert la séquence des résultats financiers. Les performances dites historiques – un bénéfice annuel de 42,3 Md$ pour la Britannique et 55,7 Md$ pour la Texane –, crispent à nouveau.
Trop de stocks, pas assez de raffinage. Les cours du pétrole ont cédé du terrain ces dernières heures, déprimés par un rapport hebdomadaire qui a mis en évidence une accumulation des stocks de brut et de produits dérivés aux États-Unis, en partie du fait d'une activité modéré des raffineries. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, avec échéance en avril, dont c'était le premier jour d'utilisation comme contrat de référence le 1er février, a abandonné 3,06 %, pour clôturer à 82,84 $. La référence américaine, le West Texas Intermediate (WTI), avec livraison en mars, a lui cédé…
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