L'embargo maritime sur les produits pétroliers autrement plus perturbant

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Á partir du 5 février, date à laquelle l'embargo de l'Union européenne sur les produits pétroliers en provenance de Russie entrera en vigueur, le marché maritime pétrolier va vivre un autre moment historique après celui du 5 décembre qui a chamboulé les flux de brut. Mais avec des perturbations dans la production et l’exportation qui semblent bien plus importantes.


Avec l’embargo de l’Union européenne sur les importations de brut russe par voie maritime et le plafonnement du prix du brut russe du G7 (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon, Royaume-Uni) et de l'Union européenne, ses promoteurs ont eu le beurre et l’argent du beurre. Sans toutefois le sourire de la crémière, le Kremlin goûtant peu aux plats salés.

Cela étant, la manœuvre risquée, entrée en vigueur il y a un mois, a fonctionné comme prévu. La sanction, qui interdit aux entreprises basées dans les pays de l'UE, du G7 et en Australie de fournir des services de financement, de courtage,…
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