En contraignant les fournisseurs de GNL destiné au marché français à trouver d'autres clients, les mouvements sociaux observés dans les quatre terminaux méthaniers de l’Hexagone ont créé un excédent d'offre.
La grève observée dans les quatre terminaux méthaniers de l’Hexagone – les terminaux de Fos (Tonkin Cavaou), celui de Montoir-de-Bretagne (Nantes), tous trois exploités par Elengy, filiale de GRTGaz, et Dunkerque LNG (Fluxys) –, a provoqué des effets complètement inattendus dans un contexte où la panique de la pénurie de gaz avait réduit la surabondance au rayon des incantations de prétoire. Mais un surplus se serait inévitablement créé, à en croire les négociants interrogés par Platts.Au 24 mars, jusqu'à 17 cargaisons de GNL auraient été ainsi détournées de la France, la plupart d'entre elles vers l'Espagne et le Royaume-Uni. D'autres…
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