En raison des dernières sanctions américaines, les actionnaires étrangers du vaste projet de liquéfaction de GNL en Arctique, parmi lesquels TotalEnergies et des sociétés chinoises et japonaises, renoncent à leurs responsabilités en matière de financement et de contrats d'achat de gaz. Novatek se retrouve ainsi seul aux commandes de ce projet, dont le coût est estimé à 21 Md$.
Énième coup dur pour Arctic LNG2, considéré il y a encore peu de temps comme un exemple en matière de a coopération énergétique entre Moscou et des entreprises internationales du secteur.En construction, le gigantesque projet (21 Md$) porté par le producteur russe de gaz Novatek est, après Yamal (Novatek) et Sakhalin 2 (dirigé par Gazprom), le troisième dans la production à grande échelle de gaz naturel liquéfié dans l'Arctique. Ils sont tous trois essentiels aux ambitions de la Russie, qui veut porter sa part mondiale de 8 % à 15 à 20%…
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