Intercéréales: connaître les flux

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Pour améliorer les flux ferroviaires et fluviaux, la filière céréalière a pris en main sa logistique, avec dans un premier temps une cartographie des flux massifiés à l’échelle de l’axe Seine. Cet outil appelé Coesio doit ensuite être étendu à d’autres régions et ouverts à d’autres filières pour permettre une mutualisation de flux et réduire les retours à vide.
Consciente que la performance de ses exportations maritimes dépend de celle de sa logistique terrestre, la filière céréalière, fédérée au sein de l’organisme Intercéréales, a mis sur pied le programme Coesio, acronyme de « Construire et organiser ensemble un schéma inter-filière optimisé. » La nécessité de cartographier l’ensemble des flux de céréales a émergé lorsque les délégations interministérielles installées sur les hinterlands portuaires ont sollicité un certain nombre d’informations sur les axes logistiques. « Nous avons alors réalisé que la filière n’avait pas de vision agrégée de l’ensemble des flux », indique Samuel Carpentier, responsable logistique d’Intercéréales. Mieux connaître les flux de céréales permet aussi d’optimiser l’utilisation des moyens de transport massifiés,…
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