« Chaque semaine, 56 trains circulent sur les corridors européens au départ de Trieste »

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Le groupe de transport maritime et de logistique danois, bien implanté en France, a soldé 2022 sur un chiffre d’affaires en croissance de 47 %. Mais dans le fret, seules les lignes méditerranéennes ont progressé l’an dernier. Lars Hoffmann, en charge des activités méditerranéennes de DFDS, revient sur les projets en cours et ses ambitions ferroviaires.
Où en êtes-vous de vos négociations avec Ekol, un de vos clients pour lequel vous avez mis en place des lignes ro-ro à destination de Trieste et de Sète et que vous envisagez de racheter?Lars Hoffmann: Nous avons déposé une demande d’autorisation préalable auprès des autorités turques de la concurrence en vue d’une acquisition. Nous sommes toujours dans l’attente de l’avis. Notre offre de reprise déposée le 14 octobre dernier concerne l’activité de transport routier du groupe turc.Après le rachat à Kühne de l’opérateur ferroviaire allemand PrimeRail en 2022, quels sont vos ambitions dans le rail?L.H.: Avec cette acquisition, la part du rail est appelée à se développer. Nous avons poursuivi le développement de nos services ferroviaires vers Wels, Bettembourg, Cologne, Calais et Paris. Actuellement,…
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