Après deux années de pleins pouvoirs, les bailleurs de navires n’échappent pas à la crise des taux de fret. Les armateurs non-exploitants doivent faire face à leurs clients traditionnels, qui n’acceptent plus de payer cher et longtemps, et aux petits transporteurs, qui veulent restituer leurs navires avant échéance.
Nouvelle manifestation d’un retournement de conjoncture aussi rapide que subit. Les propriétaires de navires se retrouvent à gérer les conséquences du ralentissement…
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