Selon Xerfi, le seul marché français du colis a engrangé en 2020 – année pandémique en diable – des volumes en hausse de 12 % et des revenus de 7 Md€ pour 1,36 milliard de paquets distribués. Toujours selon la société d’études de marché, il devrait encore bondir de 8 % par an en moyenne en volume et de 6 % en valeur en 2022 et 2023.Pour y répondre, de nombreuses enseignes de distribution ont accéléré leur basculement vers l’omnicanal tandis que les envois de particulier à particulier (CtoC), qui représenteraient aujourd’hui moins de 10 % des colis, sont tirés par les plateformes de vente en ligne, du type Vinted, Vestiaire collective, Leboncoin… La « bataille du dernier kilomètre » fait aussi référence à l’émergence des trublions numériques, tels Amazon et consorts, bousculant les acteurs historiques.« Alors qu’il s’agit d’un acte essentiel, il est surprenant de le voir aussi peu considéré…
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