À court et moyen terme, les transporteurs devront aussi faire face à une augmentation des dépenses opérationnelles. La facture énergétique, le coût climatique, les primes d’assurance ou encore la pénurie d’officiers vont charger les comptes d’exploitation.
Entre 3,5 et 14,5 Md$ dès 2024 en fonction du choix des carburants alternatifs et du coût des quotas de CO2. Selon Drewry, la facture de la transition énergétique pourrait coûter cher aux compagnies maritimes. Le coût climatique vient grever des comptes d’exploitation déjà plombés par l’inflation généralisée.Une partie de l’année a été marquée par l’explosion des prix des carburants maritimes avec un baril qui a pu monter à 140 $. Le VLSFO, fuel le plus vendu, a franchi en mars 2022 la barre des 1 000 $. Ni la Russie ni l’Ukraine ne sont des marchés clés pour les armateurs de porte-conteneurs. En revanche, la guerre entre les deux belligérants a mis les marchés de l’énergie…
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