Le GNL n’a pas dit son dernier mot

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« Si le GNL n’est pas la solution finale, il est le meilleur point de départ pour atteindre une flotte à émissions nulles en réduisant les SOx [oxydes de soufre] et les particules à des niveaux négligeables, les NOx [oxydes d’azote] jusqu’à 85 % et les gaz à effet de serre jusqu’à 23 % », rappelle inlassablement Peter Keller, le président de Sea-LNG, lobby du GNL en tant que carburant maritime.Quant à sa faiblesse par rapport au traitement du CO2, le porte-voix place de grands espoirs dans le bio-GNL. « Il peut permettre d’atteindre l’objectif de l’OMI pour 2030, à savoir réduire les émissions de CO2 de 40 % par rapport à 2008. Cette transition vers le bio-GNL et, à terme, le GNL synthétique permettra à l’industrie d’atteindre les objectifs de l’OMI pour 2050 », assure-t-il, rappelant qu’il n’y aura pas de problèmes de compatibilité entre le GNL conventionnel, le bio-GNL et le GNL synthétique.Rodolphe Saadé,…
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