À une centaine de jours de l’entrée en vigueur des nouvelles exigences en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre du secteur maritime, les trois-quarts de la flotte mondiale ne seront pas conformes, alertent les experts. Conflit entre une industrie orientée vers les investissements à long terme et un rythme de changement accéléré.
Dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4), protoxyde d’azote (N2O), hydrofluorocarbures (HFC), hydrocarbures perfluorés (PFC), hexafluorure de soufre (SF6), trifluorure d’azote (NF3)… donnent le haut-le-cœur aux palais délicats. Ils composent les fameux gaz à effet de serre (GES) que les dirigeants du monde entier feignent de traquer en signant des conventions internationales d’intention.
Après avoir réglementé la teneur en soufre des carburants (IMO2020), l’OMI a ajouté de nouveaux acronymes à sa liste de réglementations: l’EEXI (indice d’efficacité énergétique), le CII (indicateur d’intensité de carbone)…
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