La forte demande mondiale et la récente baisse des prix pourraient favoriser les exportations françaises de blé tendre, malgré le recul des achats de l’Algérie.
Malgré une légère baisse, les cours mondiaux du blé restent fermes du fait d’une demande croissante d’année et d’une offre limitée. « Les États ont pris des mesures pour assurer l’approvisionnement de leurs marchés intérieurs », a souligné Marc Zribi à l’issue du conseil spécialisé grandes cultures et marché céréaliers de France Agrimer. Il en veut pour preuve la confirmation par la Russie d’un quota de 8 Mt pour les exportations de blé du 15 février au 30 juin 2022 et la considérable inflation de la taxe à l’exportation, mise en place en juin 2021 à hauteur de 28 $/t et passée à 98 $/t en janvier 2022. L’Argentine, qui a engrangé de belles moissons, a quant à elle plafonné les exportations de blé à…
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