Le trafic de céréales, locomotive de l’activité du Grand port maritime, est à l’avenant de la mauvaise moisson de 2020. Belle prestation en revanche pour d’autres trafics qui, en raison de la congestion portuaire et de la pénurie de conteneurs, sont revenus aux fiables navires conventionnels qui privilégient en principe les ports de proximité.
Stabilité? C’est ce que semblent indiquer les 8,8 Mt qu’a traitées le port de La Rochelle et son infime baisse de 0,9 % par rapport à 2020. La réalité est toute autre, avec un début d’année laborieux et des flux en dents de scie. « On n’avait jamais connu pareille période de turbulences », assure même Michel Puyrazat, le président du directoire.Les céréales, qui constituent la locomotive de l’activité du Grand port maritime, sont à l’avenant. Trop de pluies ou pas assez et c’est l’ensemble des trafics qui s’en ressentent. Les piètres moissons de 2020 avaient déjà fait reculer…
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