Les engrais confortent leurs trafics. En revanche, crise sanitaire et Brexit ont malmené les échanges avec la Grande-Bretagne et les îles Anglo-Normandes, notamment sur le trafic passagers.
Le troisième port de commerce breton présente, à l’issue du troisième trimestre 2021, un bilan en nette augmentation par rapport à celui de 2020, fortement impacté par la crise sanitaire et par des grèves de dockers. Le tonnage manutentionné sur les quais de la cité malouine ont bondi de plus de 38 %, passant de 522 000 à 721 000 t. Et ce, en dépit de la tourmente dans laquelle s’est trouvée notamment la Brittany Ferries du fait des difficultés générées par le Brexit et la pandémie.À l’instar de Brest et de Lorient, Saint-Malo est d’abord un port d’importation qui s’appuie sur le trépied: engrais agricoles, alimentation animale et bois. Cependant, les exportations représentent 20 % de l’activité, avec des flux surtout à destination des îles Anglo-Normandes.En…
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