Les céréales, qui avaient extirpé le commerce extérieur français de la nasse l’an dernier, ne sont pas au rendez-vous cette année. Elles tirent vers le bas le segment des vracs solides. Mais malgré les aléas de son trafic phare, Rouen continue d’offrir des motifs de satisfaction.
Au terme des trois premiers trimestres de l’année, le trafic portuaire rouennais ressort en baisse de 10 % à 15,28 Mt. Par manque d’offre au premier semestre, les exportations de céréales totalisent « seulement » 5,45 Mt (– 23,2 %), soit 1,5 Mt de moins qu’en 2020.Du coup, l’ensemble des vracs solides doit concéder 15,8 % pour s’établir à 8,3 Mt en dépit de la belle tenue des agrégats à 656 000 t (+ 14,3 %). En revanche, les importations de charbon s’effacent de moitié, à 44 000 t.Déception aussi pour les vracs liquides qui trébuchent à 6,1 Mt (– 5,3 %) dont moins de 3,98 Mt pour…
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