Seuls les mois à venir permettront de mesurer les effets prolongés sur l’économie mondiale de la grande désorganisation dans les chaînes d’approvisionnement qui a marqué l’année 2021. Si on manque de repères quant à la date de sortie du capharnaüm, les causes sont en revanche pleinement identifiées.
On ne compte plus le nombre de mentions dans la presse de l’expression « problèmes de la chaîne d’approvisionnement », souvent associés au « risque » et à la « menace » qu’ils font peser sur les « livraisons de Noël » à cette période stratégique de l’année pour le secteur de la grande et petite distributions. Selon un décompte de la Bank of America rapporté par Reuters, l’évocation du phénomène par les directeurs généraux des entreprises outre-Atlantique à l’occasion de la présentation de leurs résultats a augmenté de 412 % en un an.Seuls…
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