Lancés par la Chine pour désenclaver le centre du pays et le relier plus rapidement à l’Europe du Nord, les trains de conteneurs ne constituent pas une réelle alternative au transport maritime, d’autant que leur nombre reste limité.
Pour ce qui est du transport maritime, la France reste finalement peu concernée par les nouvelles routes de la soie tracées par Pékin. La situation pourrait-elle être amenée à évoluer? C’est la question à laquelle ont tenté de répondre les intervenants d’une des conférences organisées dans le cadre de la Semaine internationale du transport et de la logistique (SITL).« Les Européens n’ont pas forcément compris que ces routes ne concernent pas seulement le transport mais aussi et surtout les infrastructures et le softpower », pose Paul Touret, directeur de l’Institut supérieur d’économie maritime (Isemar).Au-delà de la « diplomatie de la truelle » et des infrastructures construites à marche forcée par des entreprises…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?