Après le naufrage, l’industrie du ro-pax espère un renflouement

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La vague scélérate du Covid-19 a frappé durement la filière aussi bien dans le nord Europe qu’en Méditerranée avec des licenciements et de lourdes pertes financière. L’approvisionnement en marchandises a permis de limiter la casse. Pour 2021, les clignotants restent plus ou moins au rouge selon les régions.

Spectacle désolant que ces cargos mixtes alignés à l’ancre durant les longs mois de 2020. « Le covid a vidé les caisses et stoppé des lignes! Les plus affectés ont été des navires à forte proportion de passagers. Certaines compagnies, comme l’ENTMV, ont suspendu leurs opérations depuis près de deux ans. L’entrée en flotte du Badji Mokhtar III semble compromise pour cette saison », réagit Bruno Jourdan-Barry, courtier en ro-pax chez BRS. Il y deux mois, poursuit-il, « P&O a vendu deux navires à GNV pour 12 M€ alors que la compagnie en réclamait initialement 14 M€ l’unité. Compte tenu des coûts d’exploitation journaliers…
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