Autoroutes de la mer: les incertitudes persistent

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L’Espagne étant le deuxième acteur européen en volume d’activité du transport routier de marchandises (TRM) à l’international, le potentiel offert par le ro-pax semble a priori très important. Et ce, d’autant que les possibilités du ferroviaire sont limitées. Pourtant, les autoroutes de la mer (AdM) peinent à émerger.Sur la façade maritime nord de l’Espagne, la reprise de l’autoroute de la mer entre Gijon et Nantes-Saint-Nazaire, arrêtée en 2014, est évoquée régulièrement sans résultat concret jusqu’ici (celle entre Vigo et le port français ne concerne que le non-accompagné). Le président de Balearia, Adolfo Utor, s’est porté candidat sous réserve d’une subvention. Cependant, dans le cadre du plan de relance appuyé sur les financements européens, Madrid envisage des subventions pour favoriser le report modal sans toutefois préciser ses intentions concrètes.En Méditerranée, la ligne entre Carthagène et Toulon, opérée…
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