Lors du sommet mondial sur le climat organisé par le président américain Joe Biden le 22 avril, Pékin a annoncé que la part du charbon dans son mix énergétique serait contenue en deçà de 56 % en 2021 puis réduite progressivement au cours de la décennie.
Si le charbon survit à la guerre sans armes que se livrent depuis des mois le premier consommateur de la planète et l’un des principaux producteurs mondiaux – la Chine et l’Australie – il n’échappera pas à la désaffection lente et progressive de la Chine qui en avait pourtant fait la ressource essentielle à sa sécurité énergétique.Sans occulter la part de communication contenue dans les allocutions prononcées lors de grand-messes mondiales très médiatisées, Pékin a néanmoins pris l’engagement, à l’occasion du sommet mondial pour le climat initié par le président américain, de réduire la part de charbon à moins de 56 % du mix énergétique…
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