Y a-t-il plus politique que les achats convulsifs de la Chine capable de faire fi de sa souveraineté énergétique, de sa stratégie d’autosuffisance agricole, de sa rhétorique communiste et de ses valeurs orientales pour satisfaire sa faim vorace de céréales, de soja, de pétrole, de charbon, de minerai de fer, de gaz naturel?Y-a-t-il plus plastique que le vrac sec? Suffisamment robuste pour composer avec des bouleversements géopolitiques aussi rapides que déroutants entre des duopoles agressifs pour lesquels le commerce n’est pas un remède à la guerre mais une forme de bataille. Aux nerfs raclés pour naviguer dans les entrelacs de l’économie mondialisée. À même d’esquiver les jeux funestes des superpuissances économiques entre lesquelles, devenues notables des relations internationales, la guerre est impossible mais la paix improbable et la concurrence est fatale mais pas frontale.Abonné aux montagnes russes émotionnelles, rompu aux mouvements de roulis imprévisibles et implacables, le plus volatil des segments du transport…
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