Sidérurgie et agrobusiness, les deux mamelles des vracs français

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Héritage d’une structure établie dans les années 60, la performance portaire des vracs français repose toujours, cinquante ans plus tard, sur la sidérurgie bord à quai et le vaste système de l’agrobusiness.

Les vracs en France ne sont pas une grande affaire. Les statistiques consolidées de l’administration française n’existant pas, la seule année de référence dont nous disposons est celle de 2017. À cette date, les vracs dans les ports français totalisaient 75 Mt soit 21 % des trafics. Pour comparaison, l’Espagne avoisinait les 100 Mt tandis que l’Italie flirtait avec les 60 Mt. La part entre les tonnages entrants et sortants était à l’avantage de premiers (54 Mt). Il s’agissait à 60,7 % de minerais de fer et de charbon tandis que les céréales dominaient à 61,4 % les flux sortants.Comme dans la plupart des pays, les vracs secs dépendent en France d’une double nature. D’un côté, les besoins d’approvisionnement des industries,…
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Des vracs, les ports

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