La géopolitique s’en mêle

Article réservé aux abonnés


Ressource stratégique pour les pays qui dépendent des importations pour nourrir leurs populations, les céréales sont aussi un enjeu politique pour un certain nombre d’États exportateurs. C’est le cas par exemple de l’Argentine, où l’imbrication du politique dans les exportations crée de l’instabilité, faute de visibilité sur les variations des taxes à l’exportation et le niveau de production des prochaines années. Mauricio Macri, président de 2015 à 2019, avait libéralisé le commerce de céréales. Depuis son départ, les taxes à l’exportation ont été restaurées. Pour 2021, le blé argentin sera présent sur le marché mondial. Mais au-delà, le flou persiste. Cette influence politique sur les exportations de céréales existe aussi, dans une moindre mesure, en Ukraine et en Russie, où elle est masquée cependant par la hausse de la production. La Russie a évoqué la possibilité d’instaurer des quotas à l’export…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Céréales

Conjoncture

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15