Relève d’équipage, une histoire sans fin

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Réunissant les ministres de 13 pays, des autorités portuaires, des représentants des transports maritimes, l’OMI et plusieurs agences multilatérales, le sommet maritime international sur les relèves d’équipages, qui s’est tenu le 9 juillet à l’initiative du Royaume-Uni, devait trouver des solutions pour faciliter la mobilité des marins. En raison des contraintes imposées par la crise sanitaire – fermeture des frontières, difficultés d’obtention des visas, réduction importante du nombre de vols commerciaux ou encore mise en place de quarantaines –les marins ne peuvent ni rejoindre leur navire ni en descendre. Le rendez-vous au sommet s’est soldé par une déclaration commune de 13 pays. « Du blabla », ont raillé certains, agacés de voir cette problématique perdurer sans solution. « Pas de plan, pas de stratégie, pas de calendrier ni de jalons, juste une déclaration sans obligation de rendre des comptes quatre mois trop tard », indique le persifleur…
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