Ça n’a pas traîné. À peine l’épidémie de coronavirus a-t-elle commencé à donner des signes d’affaiblissement et l’économie mondiale un début de rebond, les États-Unis ont repris leur rôle de chef d’orchestre autoritaire du commerce mondial et imposé à nouveau leurs règles, distribuant bons et surtout mauvais points. Des sanctions étaient dans l’air en décembre dernier. Les mois suivants les avaient expédiées aux oubliettes. D’où elles sont ressorties aussi vite qu’elles avaient disparu à la faveur d’un début de reprise.À cette volonté de contrôle s’ajoutent les différends de l’État nord-américain avec une liste, déjà connue, de pays de la planète en tête de laquelle figurent Chine, Iran et Venezuela. C’est donc sur eux que le gendarme du monde a aussitôt braqué son collimateur. D’abord sur l’Iran et le Venezuela qui ont profité du désordre pandémique…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?