Les scrubbers ont aussi leurs avocats. Et la défense est assurée par la Cruise Lines International Association (CLIA). L’association internationale, porte-parole des compagnies de croisière, a présenté ces derniers mois plusieurs rapports qui tendent à démontrer l’innocuité des scrubbers en « open loop » sur la qualité de l’eau et des sédiments portuaires.Le dernier rapport en date est celui de Delft. Le bureau d’étude, mandaté par la CLIA, a analysé les impacts sur la base de 300 échantillons d’eaux rejetées. L’étude, présentée comme « ayant le jeu de données le plus complet », a conclu à un impact minime par rapport aux « normes européennes de qualité environnementale » qui entreront en vigueur en 2021.Deux autres études menées par DNV GL, s’appuyant sur l’examen des effluents de 53 navires de croisière, sont parvenues à des conclusions similaires: « des rejets dans des quantités…
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